Lα SнιɴRα Corporαтιoɴ
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Quand Rufus Shin-ra passe, le mako trépasse
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Friends: "Pause" Café Logoga11
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Partagez|

"Pause" Café

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Sephiroth

Sephiroth
_____________________________



Age : 34
Humeur : serein
Localisation : Batiment ShinRa - étage 49 - salle d'entrainement

Etat du personnage
PV:
"Pause" Café Left_bar_bleue100/100"Pause" Café Empty_bar_bleue  (100/100)
PM:
"Pause" Café Left_bar_bleue100/100"Pause" Café Empty_bar_bleue  (100/100)
"Pause" Café Vide
MessageSujet: "Pause" Café "Pause" Café EmptySam 18 Fév - 0:22


"Pause" Café 3039834713_1_23_jj96VuIC
- La pause café -
Sephy de mauvais poil le matin


Les matins sont tous les mêmes, tous aussi vides les uns que les autres. Une routine éternelle, plongé dans la solitude la plus totale. Je suis là, debout, devant le comptoir, à attendre mon café qui tarde à venir. Le petit spot au dessus de moi, éclair tout juste les quelques notes positives que l'on peut lire sur le journal quotidien de la ShinRa. Un milicien, toujours le même, passe devant la petite échoppe en face de la cafétéria, en me faisant de grands signes des plus respectueux. Un véritable obstiné, quand on sait que je ne réponds jamais à son geste. Je reste le regarder, avec mépris, dégoutté de sa bonne humeur. Voilà quelqu'un qui ne connaît visiblement pas les insomnies. En faite, je crois que les gens heureux m'insupporte. Ils ne connaissent rien de la vrai vie. Ils se bercent dans des illusions, convaincu qu'ils y sont en sécurité. Ces gens là sont tout simplement naïf. Après tout, le bonheur est utopique. Du moins, c'est ce que je pense. Peut être que je les jalouse tout simplement, peut être que je les envi, sans vraiment les comprendre.

_Votre café Général !
Non sans impatience, je m'empare de cette douceur longuement convoité, et savoure avec lenteur le délicieux arôme de la caféine, qui provoque en moi, non pas une certaine agitation, mais bien au contraire, une tranquillité des plus remarquable. Je ferme les yeux, lentement. Je m'enfonce peu à peu dans un silence apaisant, qui ne dure, à mon grand regret, qu'un bref instant. Tous mes sens en alerte, je ne manque pas de remarquer la jeune femme dans l’allée d'en face, qui hurle à tue tête sur son maris. Cet homme, porte un enfant dans ses bras, qui pleure, qui cris. Des cris insupportables, qui me rappellent tant ceux qui viennent percer mon sommeil la nuit. Je sent alors sur mon corps, parcouru d'un frisson froid, la nervosité qui remonte. Mes mains se serres peu à peu, faisant grincer le cuir tiède de mes gants, tout juste réchauffés par la tasse. Des échos m'agressent les oreilles, mes yeux se froncent sous la migraine fatigante qui me saisis soudainement de douleur. Je me frotte lentement le front, soupirant discrètement, caché derrière ma longue chevelure argentée. Puis lentement, les bruits s'estompent, sortent de ma tête. J'ouvre doucement les yeux, percés par la lumière du spot, qui semble avoir doublé d'intensité. Ma respiration retombe enfin. Mais c'est avec horreur et effroi, que je regarde à nouveau le couple dans l'allée. L'enfant que tenait l'homme dans ses bras, a disparu. Pour tout vous dire, il n'a jamais existé.

Ce n'est pas la première fois que ce genre d'hallucination me persécute l'esprit. Je met cela sur le compte de la fatigue, refusant tout autre raisonnement. Je reste alors longuement regarder l'allée centrale, le visage figé sur ce couple qui s'éloigne. Le doute était tel, que j'aurais bien demandé à la serveuse si je n'avais pas non plus imaginé cet homme, et cette femme. Je la voyait d'ailleurs me regarder, avec une certaine inquiétude, suite à mon expression inhabituelle. C'est cette réaction qui ramena en moi cette fierté extérieur, que je me devais d'afficher constamment aux yeux des autres. Je releva alors fièrement le menton, afficha un sourire au coin de la lèvre, et recoiffa malicieusement mes cheveux d'un mouvement fin de la main. Le succès de cette manœuvre fut totale. Elle me dévorait des yeux, complètement conquise. La seule expression même de son visage illumina mon égaux de satisfaction. Les doutes et les peurs avaient disparues, ou du moins, avait été oublié l'espace d'un instant. Il en fallait peut pour me redonner confiance. Mon plus grand ennemis était au final, la nostalgie de la solitude, appuyée par la fatigue, qui rongeait en moi, toute crédibilité de la réalité. Malgré cet état d'âme quelques peut persécuté, j'affichais toujours cette allure sereine et sûre de moi, cherchant à me berner moi même, d'une vérité pénible à admettre. Mais, même si je jouais mon rôle à la perfection, il y a certaines personnes qu'il était impossible de gruger. Je pense notamment à ce très cher Angeal, qui ne manquait pas de me faire remarquer la moindre faiblesse corporelle. Lui et Genesis ne devrait d'ailleurs plus tarder. C'est avec impatience que j'attendais leur venu. Rassuré de leur présence et conforté par leurs rires, je ne serrais bientôt plus seul.



Dernière édition par Sephiroth le Dim 19 Fév - 19:11, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://x3-Sephiroth-x3.skyrock.com/
Angeal Hewley

Angeal Hewley
_____________________________



Humeur : posé
Localisation : Bâtiment Shinra

Etat du personnage
PV:
"Pause" Café Left_bar_bleue100/100"Pause" Café Empty_bar_bleue  (100/100)
PM:
"Pause" Café Left_bar_bleue100/100"Pause" Café Empty_bar_bleue  (100/100)
"Pause" Café Vide
MessageSujet: - Pause café - "Pause" Café EmptySam 18 Fév - 18:48


- Pause Café -

Angeal émerge



Osmose, apesanteur…Angeal était à cet instant entre les bras de Morphée, si bien, insouciant, tel un enfant se perdrait dans un sommeil plein de douceur et de belles choses. Il était là, assis sur sa chaise de bureau, les bras croisés, la tête baissée, il aspirait à une plénitude, si rare dans son milieu, et se voyait pour rien au monde quitter cette sensation de bien être, car oui quelque part dans son état transcendant, Angeal était conscient, sans l’être vraiment.

Son sommeil devenait de plus en plus léger, petit à petit, il ressentait avoir contrôle d’un corps qui depuis le début de son existence avait appris à maitriser, puis maltraité, entretenu, entrainé. La dure réalité le reprit par le haut, le tirant petit à petit de son moment d’évasion. Cette réalité il l’a vit à travers ces yeux encore confus, le flou du réveil, la mine désastreuse, les membres engourdis. Il réalisa qu’il se trouvait dans son bureau, assoupit entre deux rapports, entouré de plusieurs cafés consommés. La vie qu’il menait était loin d’être un long fleuve tranquille, par moment elle coulait vite, à d’autre elle s’écoulait au ralentit, et rencontrait aussi de pénibles chutes libres. Le Soldat ne fait pas de cadeau, dans ce milieu, t’avance et tu la boucle. Le seul réconfort que peuvent trouver ces âmes, c’est un esprit d’équipe, des compagnons sur qui compter, des compagnons qui vivent les mêmes galères, ou les mêmes moments de victoire. Angeal était passé par tout, et savait pratiquement tout de ce milieu qu’il faut apprendre à apprivoiser pour ne pas craquer, un apprentissage valable pour chacun d’eux, sans exception, et c’est ce qui fait la force de tous, et c’est aussi ceux qui fait la faiblesse à d’autres, les solitaires, les grandes gueules sans cervelle qu’Angeal ne peut pas cadrer, les jeunaux et leur fierté. Fier de quoi, Angeal se le demandait bien, les noueaux qui crient aux armes sans même savoir garder les yeux ouverts. Oui par moment il était dégouté de son boulot à voir les cas qui peut y avoir, mais y a aussi beaucoup de choses qui ont du bon, et des jeunes prodiges, comme Zack, plein de promesses. Alors plus frais qu’un instant auparavant, il se leva, contrant les courbatures qu’il s’est infligé par une position de sommeil inconfortable, il s’étira pour décoincer tout ça en se parlant à lui-même entre deux bâillements :

« Voilà bien que je m’endors pendant mon temps de travail maintenant…hhaarrf…ils nous en demandent trop, c’est presque de la main d’œuvre. »

Comme tout homme bien organisé, ou presque, Angeal avait programmé une alarme quotidienne sur son téléphone pour la pause café avec ses deux compères, Sephiroth et Genesis. C’était la pause à ne pas manquer. Retrouver ses grosses têtes préférées était ce qu’il préférait par-dessus tout dans son boulot, les charrier un peu, qu’ils plaisantent ensemble, même s’il devait en venir à jouer le rôle de gendarme pour d’ »innocentes» plaisanterie à l’arme blanche. Il entreprit donc de sortir de son bureau ne manquant pas au passage d’empoigner sa lame fétiche, et ferma à la volé derrière lui la porte qui claqua un peu fort, celui-ci ne mesurant pas toujours sa forte sur la faiblesse des choses.

Angeal arriva à la cafétéria, non chaland, pourtant avec une certaine classe, et fut ravi de voir Sephiroth déjà installé, mais qui paraissait pourtant bien dépressif, le front dans la main.

« Tiens tiens, mon accolite n’a pas le moral dans les baskettes… »

Il se dirigea ensuite vers le comptoir, se posant sur celui-ci les bras croisés, demandant un grand café, bien fort, le meilleur, tout juste suffisant pour réveillé un homme de cette envergure, à l’imposante musculature, lui valant les pétillants yeux des femmes à son passage. En parlant de cela, et pendant que le café se faisait attendre, il ré observa Séphiroth qui cette fois avait la tête levée, et paraissait captivé par le couloir que lui seul pouvait voir. Angeal se demanda bien ce qu’il pouvait fixer comme ça. Puis ce ne ce fut qu’après coup, en le voyant remettre gracieusement ses long cheveux en place accompagné d’un petit sourire qu’il comprit tout de suite l’envergure de la chose…Séphiroth et son amour personnel, au plus grand plaisir de ses fans. Lui-même esquissa un petit sourire d’amusement en voyant son ami jouer de sa personne, qui prenait un mal à plaisir à rendre fou ses admiratrices. Le café lui étant remis avec politesse, il alla rejoindre Sephiroth, le sourire toujours aux lèvres, encore amusé, arriva à sa hauteur, et lui dit d’un ton nargueur, et exagéré :

« Tu en fais peut être un peu trop là, la pauvre elle va tomber… »

Puis ne manqua pas de rigoler.




Dernière édition par Angeal Hewley le Dim 19 Fév - 17:49, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://guard-of-honnor.skyrock.com/
Sephiroth

Sephiroth
_____________________________



Age : 34
Humeur : serein
Localisation : Batiment ShinRa - étage 49 - salle d'entrainement

Etat du personnage
PV:
"Pause" Café Left_bar_bleue100/100"Pause" Café Empty_bar_bleue  (100/100)
PM:
"Pause" Café Left_bar_bleue100/100"Pause" Café Empty_bar_bleue  (100/100)
"Pause" Café Vide
MessageSujet: "Pause" Café "Pause" Café EmptyDim 19 Fév - 15:32





Je reconnu cette voix grave et familière aux premiers abords. Je parlais justement de lui, et le voilà qui arrive enfin. C'est avec un sourire sincère cette fois, que j’accueille mon "vieil ami". Je sent une joie saisissante monter en moi, la solitude me quitter en coup de vent, comme une bonne claque bien mérité. Son sourire seul, accompagné de sa bonne humeur contagieuse, suffise à vous convaincre que la vie ce n'est pas seulement une existence pitoyable, plongé dans la corruption. Mon visage, transformé de douceur, parait vide de toute sévérité, qui me rongeais pourtant il y a encore quelques secondes. Je lui pose affectueusement son magazine florale quotidien à côté de sa tasse. C'est alors que je note une légère marque encré sur son visage, encore toute fraîche. Je me recule dans le fond de ma chaise pour échapper un souffle amusé.

_Ton crayon "Shin-raCorp" fait un très beau tatouage, mais je doute que cela soit un procédé convaincant, pour motiver tes troupes à travailler d'arrache-pied.

Nos troupes, parlons-en justement. Avec la guerre du Utai qui ne cesse de s'amplifier, la Shin-ra nous a depuis peu sollicités à nous mettre dans la paperasse administrative. Le comble, pour nous qui sommes militaires dans l’élite. Nous devons recruter de bons éléments, c'est ce que nous a dit Lazard au dernier brefing. Je me dit que les Turks doivent eux aussi être surpassés de travail, pour que ce genre de charges nous soit attribués. Alors il est clair que le Soldat est durement plus sollicité ces temps ci. Ce qui ne semble pourtant pas en déranger certains. Je regarde avec une certaine habitude la grande horloge, situé au dessus du mini-bar. 9H21, et toujours aucune trace d'un certain cuir rouge, qui est censé se présenter au bureau à 8h45. Mais c'est sans inquiétude que je reprend délicatement ma tasse et replonge dans le délice de la caféine. Je regarde Angeal à côté de moi, qui s'acharne sévèrement sur sa joue, à essayer d'enlever les traces de son sommeil furtif. Je ne cache pas un léger rire, qui ne manque pas d'attirer sur moi, une multitude de regards admiratif et surprit. Le temps presse d'ailleurs. Il ne faudra plus très longtemps avant que cette petite cafétéria ne soit inondé de monde, en partie à cause de notre présence. Je me demande quel excuse va encore inventer Genesis.

A peine finis ma tasse, voilà en effet tout juste une autre serveuse qui se presse de venir à notre table. Une toute jeune, sûrement une stagiaire. Il y a des stagiaires partout dans ce bâtiment, on se demande bien pourquoi. Celle ci nous regarde avec des yeux pétillants, elle est habillé d'une longue tunique rose pâle, ainsi qu'un tablier grossièrement dentelé. Elle porte une chevelure blonde, coiffé en chignon. Ses yeux, quoi que inquiétant et globuleux, sont d'un bleu très clair, presque gris. Elle parle si vite, avec une tel excitation, qu'il est pratiquement impossible de comprendre ce qu'elle dit. Je regarde alors Angeal de côté, lui adresse discrètement un sourire amusé, qu'il comprend parfaitement bien. Le jeu commence, un jeu que j'adore tout particulièrement. Je commence par me préparer avec soin. Je croise lentement les jambes, en m'enfonçant tout doucement dans le fond de ma chaise. Je penche légèrement la tête, et affiche un sourire des plus charmant. Je fixe cette pauvre jeune fille avec un regard malicieux, qui ne manque pas de la troubler.

_Je reprendrais bien un café, un double … Et puis, je serrais aussi tenté de succomber à ces petits délices que vous avez à nous offrir, Dis-je d'un ton narguant et provocant, je parle bien sur de vos confiseries.

Revenir en haut Aller en bas
http://x3-Sephiroth-x3.skyrock.com/


Contenu sponsorisé
_____________________________



"Pause" Café Vide
MessageSujet: Re: "Pause" Café "Pause" Café Empty

Revenir en haut Aller en bas

"Pause" Café

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lα SнιɴRα Corporαтιoɴ :: MIDGAR :: ◢ Bαtiment Shin-rα  :: Etages de 01 à 10 :: :: Etage 01 :: Cafétéria du personnel-
Sauter vers: