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Quand Rufus Shin-ra passe, le mako trépasse
 
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Mission Secteur 4 pour Zack Fair Difficulté: Facile

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AuteurMessage
Zack Fair

Zack Fair
_____________________________



Age : 31
Humeur : Pas vraiment dans son assiette
Localisation : étage du SOLDAT

Etat du personnage
PV:
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MessageSujet: Mission Secteur 4 pour Zack Fair Difficulté: Facile Mission Secteur 4 pour Zack Fair Difficulté: Facile EmptyJeu 29 Sep - 18:37

Les vacances était finies, hélas, maintenant il fallait reprendre le boulot… Pffff *souffle*J’étais parti pendant une semaine sur les plage de Costa Del Sol, là-bas des commerçants m’avais recruté pour repousser des monstres terrorisant les baigneurs. Hélas, je n’avais pas mon arme sous la main, j’avais dû faire avec les moyen du bord, c’est-à-dire avec un parasol. Hé! Mine de rien ça doit faire mal!
Ensuite j’avais pu enfin profité de mon séjour à la plage avec baignades, farniente sur la plage, cocktails, jolis maillots de bain et surtout les filles!

Bref maintenant cette semaine de repos était passée et j’étais rentré hier après-midi, Kunsel, remonté comme une pile nucléaire, en avait profité pour se jeté dans mes bras en me donnant de grandes claques dans le dos pile là où j’ai un sublime coup de soleil et était reparti comme tornade en courant à travers l’étage du SOLDAT en rigolant comme un dément, poursuivi par un Luxière trempe et dans un état de colère noire. C’est pas demain la veille que Kunsel arrêterait ses blagues douteuses envers l’autre SOLDAT, l’un comme l’autre se détestaient et ne pouvait se voir en peinture, de vrai gamins ces deux là je vous dit.
C’est à ce moment précis que j’entendis une musique bizarre, plus précisément celle de l’émission sur les animaux domestique passant à la télévision, je regarda à droite à gauche, personnes dans les couloirs…bizarre… La musique se fit réentendre mais cette fois le vibreur de mon PHS, me fit comprendre que c’était la musique signalant que j’avais reçut un message. Je soupira, Kunsel avait encore fait des siennes, le bougre avait encore mis une musique sur mon PHS alors qu‘il est sensé être en mode silencieux, espérant surement que je me fasse prendre par Lazard et que je me face remonté les bretelles. Mais bon cette fois j’ai eu de la chance, je suis seul dans les couloirs.

J’ouvris donc mon PHS, j’allai rapidement au menu de la messagerie, cliqua sur boîte de réception, et lu le nouveau message que je venais de recevoir. Le destinataire n’étais autre que mon mentor Angeal Hewley, je lu donc rapidement ce message qui était le suivant:

Reçut aujourd’hui

« Envoyé par: Angeal Hewley

Type de personne recherchée: Zack Fair

Coéquipier: Non

Lieu: Secteur 4

Message:
Des bandes de jeunes miliciens harcèlent la population du secteur 4, les orphelins surtout, quelques cas de suicides ont été rapportés, montres à qui ils ont affaires s’il continuent. Prends ça comme un échauffement avant de passer aux choses sérieuses mais ne les sous-estimes pas,n' oublis pas qu’ils attaquent en bande. Au boulot! »


Une fois que j’ai eu pris connaissance du message, je refermais le clapet de mon PHS et me dirigea vers les fameux ascenseurs aux parois transparentes de la Shin-ra, j’envoyais un au revoir à Kunsel et Luxière qui ne me répondirent pas l’un trop occupés à sauver sa vie face à l’autre et l’autre trop accaparé par l’envie je cite: « D’éviscérer, étrangler, empailler, empaler aussi, de s’amuser aux fléchettes avec son épée sur cible mouvante, … Et un tas d’autres joyeusetés. »
J’entra donc dans l’ ascenseur et appuya sur le bouton « Rez-de-chaussée »,puis je m’appuya sur la baie vitrée du fond, les bras croisé sur mon torse et je ferma les yeux attendant d’arrivé en bas. Ce qui est
Bien dans les ascenseurs ce sont ces petites musiques d’attente toute douce, c’est agréable quand vous rentrez de mission que vous êtes fatigué de votre journée, c’est déstressant.

Un « gling » se fit entendre à l’étage 31 celui des Boutiques et une personne entra dans l’ascenseur et se posta à mes côté:
« S’il vous plaît, pourriez-vous appuyez sur le 01 » Fit une voix féminine avec un accent tout à fait adorable. J’ouvris les yeux m’apprêtant à dire « Bonjour, My Lady, pourrais-je avoir votre numéro de PHS» Le tout avec un sourire charmeur…Quel choc que j’eu en ouvrant mes yeux et tombant ainsi dans deux yeux noirs et froid où on pouvait difficilement distinguaient les pupilles. Me rendant enfin compte de qui étais à mes côté, j‘eu un sursaut de peur et mes cheveux qui s‘hérissèrent un peut plus sur ma tête: *La Vendeuse de Matérias! Hiiii! Au secours! On dit d’elle qu’elle est à fond dans la magie noire, qu’elle fait même du spiritisme dans son arrière boutique! Elle va me jeté un sort! HAAAAAAAH!!!! Elle me regarde bizarrement! Haaaaah! Ses yeux on dirais un requin! Au secours, à moi!*, pensai-je tout en devenant blanc comme un linge *attend deux seconde…Si elle fait de la magie noire imagine qu’elle sache lire dans les esprits, elle a du toute entendre de ce que j’ai dit auparavant dans ma tête… Nom d’un Ba-ba-hamut au Rhum! Je suis cuit!*

La vendeuse, Mademoiselle Sun, comme certains l’appellent continuer de me regarder bizarrement de ses yeux noir, elle souffla d’impatience, fronça les sourcils de colère et me dit avec sa voix envoutante « T’a deux de tension ou quoi? Je viens de te demander d’appuyer sur le 01 ».
Je me figea sur place, ne surtout pas énervé la bête qui sais ce de quoi elle serait capable, jusqu’à preuve du contraire, c’est elle qui s’occupe de la boutique de matérias, elle doit en savoir en sacré rayon dessus et en avoir sur elle, comme elle a pas de gros bras à ses côté pour la protégée en cas de pépin… Je me tourna ver les tableau des boutons d’étage et appuya sur le 01, j’entendis alors ma voisine me dire un vague merci et je la vit se plongé dans la lecture d’un document, moi je me tint droit comme un piquet, toujours sous le choc, les yeux fixés sur la moquette, L’ascenseur s’arrêta, j’entendis un autre *gling* et Mlle Sun sortie de l’ascenseur en me disant « Que les bon Esprits vous accompagnent pour cette mission Mr Fair ». Je releva soudain la tête la regardant se diriger vers la cafétéria,*Comment à t elle fait pour savoir que j’allais en mission?* Je fis la moue de celui qui réfléchis intensément, me gratta l’arrière de la tête et haussa les épaules en disant: « Elle est redoutable… ».

Les porte de l’ascenseur se refermèrent et celui-ci se remis en marche, je me détendis enfin, la petite musique de fond aidant, Dix secondes plus tard j’étais au Rez-de-chaussée. Je saluai vite fait les secrétaires, leurs disant que je m’absentai un temps pour remplir une mission posé par Angeal et je sorti du bâtiment me dirigeant vers les garages de la Shin-ra, là-bas j’y retrouva la femme de ma vie ma très chère Linda une Suzuki bleu sombre. Je mis mon casque sur la tête, enfourcha la moto, mis le contact, je fis un peu ronronner ma moto et finis par démarrer, me dirigeant vers la sortie du garage. Je m’arrêta devant le vigile lui fis un petits signe de la main, celui-ci me renvoya mon salut et leva la barrière de sécurité pour que je puisse passer, je le remercia d’un autre signe de main et redémarra ma moto.
Une fois sorti je pris à gauche, pour entrer dans l’autoroute qui mène au secteur 4. Le voyage sur l’autoroute dura trente minutes, pas le temps d’admirer le paysage, des orphelins et des personnes compter sur ma présence le plus tôt possible, je fis donc du 110 Km/h, le panneau indiquant la sortie pour le secteur 4 se présenta à moi, je pris donc la direction indiqué. Mon voyage dura encore six minutes jusqu’à que j’arrive au portes du secteur, je trouvé ma planque habituelle derrière un mur cacher par des buisson pour planqué ma Suzuki et je mis l’antivol.

Cela ne faisait pas la première fois que je venais au secteur 4, comme certains gars du SOLDAT, j’étais un habitué des lieux, apportant de la nourritures aux gamins orphelins. Les pauvres petits, une grandes partie, si c’est pas tous sont abandonnés ici par leurs parents arrivant des petites villes alentours, espérant trouver un travail ils finissent par se rendre compte trop tard que la vie est trop chère ici, et repartent dans leurs cambrousse sans leurs marmots dans leurs bagages. Ceux-ci espérant qu’ils se fassent adopté par des membres de la Shin-ra. Ils disent qu’ils les aiment et qu’ils les abandonnent pour leurs bien, si laisser un gosse pioncer dehors et mourir de faim c’est une marque d’amour, laissez moi rire.
Il y a un orphelinat à la Shin-ra, mais il sera très bientôt plein à cause de tout ses abandons.
C’est sur ses pensées que je pénétrai dans le secteur 4.

Le secteur 4 était l’un des endroit les plus mal famés, ici était l’endroit fétiche des petits malfrats, Ce lieu était une sorte de mini-ville où vivait ceux qui étaient rejetés par la société, c’est ici que les autorités venaient chercher en premier si ils rechercher une personne, en clair, ici c‘est le coins des paumés. Ah, ça il fallait pas faire du tourisme ici, tu tourne la tête à peine dix seconde et te voilà détrousser de tes biens, portefeuille en premier.
Cette mini-ville était entièrement constituée de bidonvilles et non loin, à deux pas c’était la décharge de Midgard, alors autant vous dire que l’air ici n’est pas frais. Malgré tous ces problèmes le secteur 4 reste l’une des Zone les moins chère au point de vue de l’économie, ainsi il y a de-ci de-là quelques vieux immeubles construits où certains prolétaires vivent, parfois à dix, si c’est pas plus dans un petit appartement.

Pour en revenir au malfrats, normalement, je dis bien normalement, des miliciens ont était dépêché ici pour faire régner l’ordre, mais il semblerait que ceux-ci aient pris la grosse tête et en font voir de toutes les couleurs aux résidents. Le taux de suicides et d’agressions sont en hausse ici, sans parler des orphelins, certains résidents ont rapportés des agressions sur ceux-ci, voilà vous partez une semaine en vacances et voilà ce que vous retrouvez, des blanc-bec qui s’attaque aux plus faibles. Si ils sont si jaloux du SOLDAT, qu’ils veulent faire leurs malins et faire mumuse. Hé beh! Je vais leur remontés les bretelles moi! Ils vont voir que Zacky il peut mordre!

Je rentra dans une modeste petite boutique et interrogea le patrons sur ses fameuses agressions et suicides. Celui-ci me confirma que c’était bien des miliciens, qu’ils étais au nombre de sept et qu’ils faisaient régner la peur et la terreur ici bas. Il m’informa que plusieurs fois ils étaient venus fracturés sa caisse, que les suicides étaient dû aux chantages qu’ils exerçaient sur des gens honnêtes, beaucoup c’étaient retrouvés du jours au lendemain sans un sous, obligés de leurs payer des rentes chaque mois pour qu’ils les laissent tranquilles. Tous les habitants du secteur 4 n’étaient pas que des malfrats, beaucoup était de petits ouvriers suant sang et eaux à leurs travail, travaillant des fois jusqu’à Cinquante-quatre heures par semaine, des fois au noir et sans papiers, pour un petit salaire qui dépassé même pas la moitié du SMIC, pour pouvoir nourrir parfois une famille contenant plus de six enfants.
Si vous pensez tout de suite que c’est la faute à la Shin-ra, qu’elle fasse de l’esclavagisme, je vous arrête tout de suite! Tous ces habitants ne travaillent pas pour nous, sachez que sur Midgard il n’y a pas que la Shin-ra comme entreprise, bon c’est vrai c’est la plus grande, mais il y en existent beaucoup d’autres…Certaines n’hésite pas à bafoués les droits de l’homme pour essayer de se hisser à la hauteur de la Shin-ra.
Pour ces pauvres gens nous membres du SOLDAT, ne pouvons rien à part essayer de leurs garantir la sécurité de leurs lieux de résidences.

Je continua à parler avec le vendeur pour lui demander d’autres renseignements comme les lieux où les miliciens en questions ont frappés, une liste des victimes, je lui dit aussi que j’étais là pour les débarrassé des miliciens et non pour réparer les dégâts occasionnés, une autre personne de la Shin-ra viendra après moi pour listé les dégâts occasionné par les miliciens pour que les victimes soit remboursés.
J’étais sur le points de lui demander de me décrire les miliciens pour que je me mette à les rechercher quand soudain un homme entra dans la boutique en criant: « Roger! Ils ont encore frappés! Ils s’en prennent à une gamine maintenant! ».
Je compris tout de suite de qui cet homme voulait parler, je l’interpela en lui criant: « Où sont-ils?
_ Non loin de la décharge monsieur, je vous y amène! Me dit-il »
Nous sortîmes tout les deux de la boutique, le gérant qui s'était muni d’une pèle voulait se joindre à nous, je leurs fis alors comprendre que c’était mon devoir de les débarrassés de ce problème et non le leurs, que je ne voulait pas qu’ils prennent part au problème.

J’abandonnai donc les deux habitants devant la boutique et me mit à courir en direction de la décharge.
Je trouva très vite les miliciens, grâce au cris que j’entendis. Une fois sur les lieux, je vis les sept miliciens, sept gosses plus jeune que moi, âgés de seize à dix-sept ans, tous armés d’une barre de fer, au moins ils n’avaient pas d’armes à feu, c’était déjà ça.
Je vis dans un coin, acculée contre le mur, cachée derrière les poubelles, un petit poussin, haut comme trois pommes, avec deux grands yeux bleu remplis de larmes, les cheveux blonds coiffés en deux couettes haute de chaque côté de la tête, habillée d’une robe sale au bas déchiré et trouée, d’une couleur qui devait être surement par le passé du rose. La chaussure droite, seule, chaussée à ses pieds sans sa compagne la gauche, qui avait surement eu le syndrome de la pantoufle de verre de Cendrillon.

La petite fille, car cela en était une, devait avoir pas plus de six ou sept ans, elle essayer du mieux qu’elle pouvait de se mettre en boule et de s ‘éloignée le plus possible de ses ravisseurs.
Ravisseurs, eux, qui assez imbiber par l’alcool, rigolaient comme des hyènes.
« Ha!Ha!Ha! Regardez les gars ce que j’ai trouvé! Un microbe! Beh qu’es ce qui y a? On a perdu sa maman? Ou tu as était une vilaine petite fille et elle t’as abandonnée? » Fit l’un des miliciens, qui avait l’air d’être le plus vieux, avec un sourire sadique sur le visage

_ On va jouer, tu viens avec nous? Fit un autre en s’approchant dangereusement de la petite qui sanglotait et tremblait comme une feuille morte dans son coin.
Avant qu’ils aient pu l’atteindre, je fis remarquer ma présence dans leurs dos e, disant:

« Alors…Agressions, chantages sur les citoyens et sur mineurs, manque à vos devoirs de miliciens, dégradation de la voie public, homicide involontaire (les suicides des habitants) et en plus état d’ébriété sur le lieux de travail…EH! Beh! Les gars! Chapeau! Ça en fait un paquet d’infractions là! »

Ils se retournèrent tous en sursautant dans ma direction.
_ Vous allez avoir de sérieux problèmes avec la justice les gars, j’aimerais pas être à votre place pour sûr! Qui plus Est-ce n’est pas bien de s’en prendre à plus petit que soi. Renchéris-je en bombant le torse et en mettant les main sur les hanches dans une pose style super héros.

_ Hé mec, tu serais pas un SOLDAT? Fit le plus vieux.

_ Tout à fait!

_ Tu tombe bien, on avaient plus une tune, tu vas être gentil et nous donner ton portefeuille sinon il risque de t’arriver une bricole.

_ Je suis désolé pour vous, les mioches, si les tarifs de la cantoche on augmenter chez vous, c’est vrai que vous êtes pas vernis. Mais, je n’ai pas mon portefeuille sur moi, désolé. Leurs répondis-je en haussant les épaules.

_ Fais pas ton malin mec on est sept contre toi.

_ Tout à fait, je sais encore conter merci! Et ça tombe bien que vous soyer là tous les sept, ça m’évite de vous courir après.

Voilà c’est ça que je cherchais, il fallait qu’ils s’éloigne le plus possible de la gamine et le meilleur moyen de le faire c’était d’éveiller leurs colère, c’est ainsi qu’ils abandonnèrent leurs première cible et qu’ils se ruèrent tous sur moi barres de métal en l’air. J’attrapai mon épée qui était jusque là accrochée dans mon dos, et jeta dans la mêlée.

Le premier qui arriva je l’évita, ne pouvant s’arrêter, il finis sa course par terre et ne pu se relever, l’alcool qu’il avait ingurgité avant ne l’aidant pas, il resta étalé sur le sol. Et de un!

Le deuxième je lui fis un plaquage comme au rugby, il se casa le nez lorsque sa tête rencontre le sol. Et de deux!

Le troisième, je ne put l’évité, sa barre de fer me frappa au visage et m’ouvris l’arcade sourcilière, je fus groggy pendant quelques secondes. Mais je repris très vite mes esprits, « Ne les sous-estime pas! » ,fis-je en imitant la voix d’Angeal, encore une fois mon mentor avait raison, Roarh! C’est agacent d’avoir tous le temps faux! Bon où j’en étais? Ah oui! Le troisième! Je bloqua avec mon épée sa barre de fer et je le désarma en lui faisans une passe d’arme, je lui fit un coups de pied violent dans le ventre, il alla percuter le mur qui étais derrière lui. Et de trois!

Le quatrième, je lui envoya aussi un coup de pied, mais dans un endroit que la décence m’interdit de citer. La douleur fut tellement insupportable pour lui qu’il s’avoua vaincu. Et de quatre!

Le cinquième…Où il est le cinquième? Je regarde à droite, à gauche…Pas de cinquième…Bon sang de bon soir! Mais où qu’il est? Je ne pu le chercher bien longtemps, qu’il me tomba dessus, le petit malin était monté sur une benne à ordure et s’en était servis comme trampoline pour me sauter sur le dos. Ah! Beh c’est là qu’il se caché? Comme le dit souvent Angeal, c’est bien de réfléchir, mais faut aussi agir…Donc, action réaction…Le cinquième, je l’envoya valser dans la benne à ordures, et je l’y enferma. Et de cinq!

Le sixième avait un peu plus de jugeote que les autres…Voyant ses camarades à terre, et qu’il ne faisait pas le poids, il commença à effectuer ce qu’on appelle un replis, mais moi j’appelle ça une fuite.
Mais comme le dit souvent Angeal: « On est SOLDAT ou on ne l’est pas! On est pas là pour cueillir des pommesottes, si tu est au SOLDAT c’est pas pour fuir en plein milieu du combat comme un trouillard. En clair, numéro six ne fera pas un bon SOLDAT. J’ai eu juste à l’assommer avec un couvercle de poubelle, histoire qu’il aille pas trop loin. Et de six!

Restait plus que le septième…Le cerveaux de la bande…Déjà, monsieur était vert de rage, car j’étais encore debout et en bonne santé, malgré ma blessure à l’arcade et le sang qui coulait et recouvrai mon visage. Eh oui mon pote! C’est qu’il est résistant le Zacky!
Donc, lui, je lui fit l’honneur d’un vrai duel à l’épée, car vous vous en êtes rendu compte jusqu’à maintenant, je ne m’en suis servis que très peu.
Donc ce fut un duel épée contre barre de fer. Pour désarmer et mettre à terre mon adversaire, j’utilisai une technique de feinte… lorsqu’il s’élança et qu’il fut sur moi je l’évita par une roue rapide sur le côté, puis je fit un piquet , c’est les pieds en l’air, une main sur le sol, que j’assénai grâce au pommeau de mon épée, que je tenait dans mon autre main, un violent coup dans la cheville gauche de mon adversaire. De surprise et de douleur il en lâcha son arme pour s’accroupir et se tenir la cheville. Il ne resta plus qu’à l’assommer lui aussi. Et de sept! Le compte est bon!

Je mis les six Caballeros rejoindre leur ami le numéro cinq dans la benne à ordures, et bloqua l’ouverture en y mettant dessus plusieurs poubelles remplis. Il me reste plus qu’à prévenir la Shin-ra pour qu’ils viennent les chercher.

Maintenant la petite… Je me retourna et vis qu’elle n’avait pas bouger et qu’elle continuer à sanglotait dans son coin. Je m’approcha, elle eu un mouvement de recul, je m’accroupis à côté d’elle et non devant, histoire de lui montrée qu’elle avait le champs libre pour fuir si elle le désirait.
Je vis alors, qu’elle avait le genoux écorché, obtenus surement en voulant fuir les sept idiots.
« Hé! Poussin! » Fis-je d’une voix douce.
_ Tu t’appelle comment?
Elle me répondit en gémissant:
_ Je veux ma maman…
_ Ok! Et elle s’appelle comment ta maman? Pour que je t’aide à la retrouver.
_ Maman…Fit-elle en se remettant à pleurée.
_ Tu sais pas son nom de famille?
_ Non
_ Ok! Et c’est quoi ton nom de famille? (Je sais ça revient au même comme question, mais on sais jamais peut être que demander d’une autre façon elle pourra me répondre)
_ Je sais pas…
_ (Raté) Et ton papa?
_ Je veux ma maman…

Je me gratta l’arrière de la tête et fis la moue, décidément j’étais pas aidé, on va tenter autre chose.
_ Et ta maman c’est quand que tu l’ vu le dernière fois? Elle t’as dit quelque chose?
_ Non…Elle est partie…
_ Partie où?
_ Je sais pas…

Je souffla et revins sur la petite:
« Je peux voir ton bobo? » lui demandais-je, autant utilisé un vocabulaire qu’elle comprend c’est une petite fille de six ans, pas un adulte. Elle se positionna assise sur le sol, je pus examiner sa blessure, elle cria lorsque je toucha son genoux, je lui demanda si elle pouvait le bouger. Elle me répondis en faisant non de la tête. J’attrapais alors mon PHS et composa le numéro de l’accueil de la Shin-ra:
« Allo, Mademoiselle Taiyou, c’est Zack Fair, seconde classe du SOLDAT. Je suis actuellement au secteur 4, pour une mission d’agressions sur habitants, je viens d’arrêter les fauteurs de trouble. Serait-il possible que l’on m’envoie une unité avec un fourgon. Les jeunes délinquants sont âgés entre seize et dix-sept ans et sont au nombre de sept. Là je l’ai aient enfermés dans une benne à ordure derrière la décharge. Je vous ferais un rapport détaillé sur leurs infractions qu’ils ont commis à mon retour. Ah oui au faite, j’ai trouvé une enfants de six ans blessée seule sur les lieux, je la ramène avec moi à la Shin-ra.
Dois-je attendre l’unité avec le fourgon? Ok, je vais attend! Merci mademoiselle, oui à toute à l’heure. »

Je raccrocha et m’assis à côté de la petite pour attendre que l’on vienne chercher les sept lascars. Comme j’avais mon sac à bandoulière avec moi je fouilla à l’intérieur et sorti un paquet de gâteaux sablés pur beurre avec des morceaux de pommesottes à l’intérieur. Je l’ouvris et le donna à le petite, je lui dit d’en manger, sa maigreur affolante me dit qu’elle ne devait pas manger à sa faim. Et je voulais pas qu’elle me fasse une syncope maintenant.
On attendis ainsi alors, tous les deux, la petite rassurée, je pus enfin connaître son prénom: Juliette. C’est ainsi que l’on fit connaissance tous les deux, elle me dit que là où elle habitait il y avait un gros canon…Tiens un gros canon, es ce que ce ne serait pas Sister Ray de Junon? Il me semblerais bien…

L’unité arriva dix minutes plus tard, la petite avait commencée à somnolait la tête posée sur mes cuisses.
Ils embarquèrent les sept miliciens direction surement la prison de la Shin-ra en attendant qu’ils soient jugés.
Et moi je pris la petite dans mes bras, elle se positionna comme un koala accroché à son arbre, ses deux bras serrant mon cou et ses deux jambes, ma taille, sa tête posée sur mon épaule. C’est ainsi que je regagna ma moto, je l’assis dessus, lui mettant le deuxième casque que je cache dans le coffre sous ma selle, je mis aussi le mien, m’assis derrière elle et lui dit de bien s’accrochait à moi. Je démarra et rentra à la Shin-ra.

Une fois là-bas, ma moto garé, à sa place habituelle, je me présenta à Taiyou à l’accueil , la petite Juliette toujours dans mes bras.
Comme prévus, je fis un rapport à la secrétaire, lui donna la liste des dégâts matériels que j’avais pu relevé au secteur 4. Je lui répétai les informations sur la petite. Ils allaient surement voir si ils retrouvaient les parents à Junon, une enquête serait menée, avec des assistantes sociales et tout.
Je remercia Taiyou et lui dit que j’amenais avec moi la petite à l’infirmerie, pour nous faire soignés tous les deux, après j’allais la déposée moi-même à l’orphelinat de la Shin-ra.

Voilà comment ce passa ma mission. On retrouva finalement les parents de Juliette, la garde leurs fut enlevés, ceux-ci l’avait abandonnée intentionnellement. Elle resta plusieurs mois à l’orphelinat, je lui rendis visite le plus souvent possible, puis on lui trouva une famille d’accueil, un cadre du service de l’urbanisme de la Shin-ra l’adopta. Elle sera ainsi plus heureuse à présent.
Les sept miliciens, eux, n’ont pas eu de traitement de faveurs…La justice, se fit un plaisir d’en faire un exemple.

[HHP]: Bonjour, excuse moi Angeal de ne pas avoir postée plus tôt la réponse à cette mission, elle est déjà écrite depuis plus de deux semaines, mais voilà j'ai eu pas mal de problèmes notamment encore avec la batterie de mon ordi, mais aussi j'ai perdu un chat, que j'adorais par dessus tout et qui est tombé de mon balcon, je ne l'ai toujours pas retrouvée et j'ai était inconsolable pendant plusieurs jours.
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